Aéro-Journal n° 19
Parution fin novembre 2010
La renaissance de la Luftwaffe (1955-1965)
C-J. Ehrengardt
Dix ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Luftwaffe renaît de ses cendres.
Construire une aviation militaire de premier plan à partir de zéro était un pari osé. Allemands et Américains eurent à surmonter de nombreux problèmes, en particulier d’ordre politique.
Les Disciples de la religion cathodique (5)
Les Samouraïs du clair de lune
C-J. Ehrengardt
Le grand paradoxe de la chasse de nuit japonaise aura été d’être très en avance techniquement, mais incapable d’exploiter cet avantage, en raison de l’intense rivalité entre l’Armée et la Marine, un profond dédain envers la technologie et l’incapacité d’organiser une défense combinée.
Anthéor était toujours debout
Guy Julien
Anthéor n’est pas le nom d’un monstre mythologique, mais celui d’un pont ferroviaire dans le Var. Or, malgré douze raids aériens majeurs en douze mois, en août 1944, tel le veau d’or, il sera encore debout !
Me 109
2e partie : Dora et Emil
Rolf Steiner
Équipé du remarquable DB 601, le Bf 109 E, combinant vitesse, maniabilité et puissance de l’armement, constitue ce que beaucoup de pilotes considèrent comme la meilleure version du célèbre chasseur d’Augsburg.
Le Bloch 500, l’avion qui n’a jamais existé
Philippe Ricco
Avion mystérieux s’il en est, le Bloch 500 n’a laissé aucune trace et sans les rares photos retrouvées, on pourrait même croire qu’il n’a jamais existé.
Les avions de combat français 1939-1940 (13)
Le Lioré-et-Olivier LeO 451 (1)
C-J. Ehrengardt
Tranchant avec les « boîtes à chaussures » du début des années trente, quand les avionneurs rivalisaient entre eux à savoir qui poserait le plus de mâts et de contrefiches ou dessinerait la silhouette la plus anguleuse et la plus laide possible, le Lioré-et-Olivier LeO 451 renoue, en quelque sorte, avec la haute couture à la française. Mais l’esthétique est-elle un gage d’efficacité quand elle est appliquée à un bombardier ?
Die Hard
Trois minutes pour survivre
Owen Gault
Les autorités militaires avaient fixé le taux « raisonnable » de pertes à... 90% et l’espérance moyenne de vie de l’équipage et des passagers d’un planeur était de trois minutes après le largage de l’élingue !
Il y a 70 ans, la guerre aérienne
Décembre 1940 – janvier 1941
C-J. Ehrengardt