Un peu d'humour...

Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 2 Sep 2005 - 8:30

Y a comme un courant d'air !...

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 2 Sep 2005 - 20:04

vous les trouver où ces photos ?

Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 2 Sep 2005 - 20:20

Sur des sites humoristiques.
Mais c'est souvent les mêmes qui reviennent !
hello

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 2 Sep 2005 - 21:27

C'est pas de ton âge, alien2 Brice Girl alien2 !!! Va au lit !!!......

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 15:47

Collision entre 2 MiG-29
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Rassurez-vous, les 2 pilotes ont pu s'ejecter et atterrir indemnes !

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 15:52

C'est ce qu'on appelle friser les moustaches au Pacha !
Cette photo a été prise au cours d'exercice d'alerte de grande ampleur sans l'Atlantique.
A son retour, ce pilote s'est fait copieusement engu...lé !!!

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 16:42

Tex Hill a écrit:: C'est ce qu'on appelle friser les moustaches au Pacha !
Cette photo a été prise au cours d'exercice d'alerte de grande ampleur sans l'Atlantique.
A son retour, ce pilote s'est fait copieusement engu...lé !!!

nan, pas au cours d'un exercice, c'est un des plus célebre pilote de chasse US, je suis pas sur qu'ils vole encore en opérations, mais il fait ce genre de truc par contre, sa figure était préparée à l'avance enfin bref.... propaganda! happy

EDIT: vala j'ai trouvé un site ou il y en est question:

http://faq.bigip.mine.nu:8008/fauxfakes/snodgrass.php

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 17:50

ouai et faut faire gaffe ya de plus en plus de photos d'atterissages incroyables,... qui sont en fait truqué sur internet ..

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 18:00

ouaip, la il n'y a aucuns trucages, c'est juste un effet d'optiques, et un coup de propagande pour l'américains moyen qui en voyant ca va penser que tous les pilotes US sont des Top Guns qui font ca tous les jours....

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 18:05

mouai cela dis ils ont beau avoir le meilleurs matériels du monde, je doutes que leurs pilotes est une meilleur instruction que ceux français et européens.. black

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 19:23

Pas plus leurs pilotes que leur avions, l'avion qui est actuellement considéré comme le plus efficace par le milieu est le Su27 ;)
Le Mirage 2000 avec des réservoir sup est considéré comme égal ou supérieur au F15 qui est l'actuel fleuron de l'USAAF.

Bon apres,c'est sur qu'eux, ils en ont plus que tout le monde réuni Un peu d'humour... - Page 3 092

, qu'ils ont une douzaine de gros porte avions , qu'ils ont le plus de missiles natomik Un peu d'humour... - Page 3 12

.

Au niveau des pilotes, les israeliens sont souvent considéré comme les meilleurs , faut dire qu'ils ont souvent l'ocasion de faire des mission de guerre... donc ont de l'expérience.
A ce niveau, les ricains les titillent, mais justement, parce qu'ils sont plus nombreux, chaque piltoe acquiert moins d'expérience que les irsraelien.

Les popovs doivent bien en avoir quelques uns, la Tchetchenie, on en parle plus, mais ca doit toujours chauffer la bas...

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 3 Sep 2005 - 21:31

J'ai du me tromper avec un F-18 !... red

Cela dit, c'est réellement impressionnant.
J'ai souvent essayé de faire des passage bas (15 pieds) sur le dos au dessus de mon PA, avec des F-14 ou F-18.... ça s'est souvent mal fini ! happy3

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Dim 4 Sep 2005 - 18:40

je viens de voir un reportage sur un incident de vol qui aurait pu mal finir.
une vitre du cockpit d'un avion de ~~british airways~~c décollé aspirant le pilote. celui ci a été atrapper par les pieds par un membre d'équipage et a survécu a une dixaine de minute (je sais pas exactement) au choc deja puis a des vents de 700 km/h et a un manque d'oxygene .
le copilote a du atterrir en catastrophe avec le plein de kéro sur une piste pas très longue (1500m g crois) et avec un vent d'environ 200 km/h ds le cockpit. le numero de vol je me rapelle pu trop g crois que c'est BA 5390.
incroyable

Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:39

PRINCIPES DE BASE :

Règle 1 :

Le foot est un sport dont la diffusion se produit immanquablement
au moment de :

. Faire la Vaisselle
. Sortir le chien
. Sortir sa femme

Règle 2 :

En raison de la règle 1, le Foot est source de conflit familiaux
Règle 3 :

De toutes façons, le Foot est source de conflit tout court.

LES PRINCIPES FONDAMENTAUX

Contrairement au jeu a 13 (qui se joue a 13), à la passe à 10 ou à la
clé de 12, le football se joue à tout plein. Il faut compter 22 joueurs
(2 équipes par pack de 11, à ne pas confondre avec la bière que l'on
consomme par pack de 6), 3 arbitres (dont 1 avec un sifflet, les 2
autres se consolant avec un drapeau) et 2 commentateurs (dont tous avec
un micro). Soit a priori 27 participants, auxquels il faut ajouter 2
entraineurs (1par équipe) suppléés en général par l'équivalent de la
population respective des pays partie prenante, soit dans le cas de la
France quelque 59.999.999 sélectionneurs/entraineurs adjoints
(nota, l'entraineur est naturellement exclus de ce décompte, mais les
joueurs, qui veulent tous jouer, inclus).
Comme son nom l'indique clairement, le football se joue avec une balle
(ball) qu'on se passe avec le pied (foot) entre copains, jusqu'à ce
qu'il pénètre les filets du camp adverse : et c'est le but. Quand le but
y est, le joueur qui l'a mis est content. Alors il fait des petits bonds
en l'air, tandis que ses copains - très contents aussi - lui tombent à
dix sur le paletot pour lui prouver leur amitié. Car le football est un
sport d'homme (d'où l'expression "C'est pas un sport de pédés").
Temporellement parlant, et aussi bizarre que cela puisse paraître, le
football dure trois mi-temps : une première de 45 minutes, une seconde
45 minutes, et une du milieu (généralement appelée "mi-temps") qui ne
dure qu'un quart d'heure et qu'on se demande ce qu'elle fout là, meme si
elle est idéalement placée pour aller aux Wouaters. Soit donc 3 mi-temps
dont 2 "vraies". Attention, il conviendra de ne pas confondre avec le
Rugby qui comporte 3 mi-temps également, mais organisées différemment,
en première, deuxième et troisième mi-temps (soit 1,5 temp complet).
Mais dans ce cas, la troisième mi-temps est d'une durée aléatoire
pouvant aller jusqu'à "toute la nuit", ce qui fait que le Rugby est
nettement plus fatiguant que le Football.

LEXIQUE ELEMENTAIRE

Une fois les principes fondamentaux compris, il convient, pour
comprendre pleinement les subtilités du football, et surtout les
commentateurs, de disposer d'un rapide lexique.

La "PASSE"

Quand un joueur a le ballon et qu'il le passe avec le pied à l'un de ses
camarades, on appelle ca une "passe". Toute analogie avec les
péripapéticiennes n'est que fortuite, quoique le Brésil est
habituellement considéré comme peuplé uniquement de putes et de
footballeurs (votre femme est brésilienne ? ah... et dans quelle équipe
elle joue ?).

Le "TIR"

Quand un joueur prend son élan et tire dans le ballon, on appelle ça un
"tir". S'il tire du pied gauche, on appelle ça un "tir du gauche"; s'il
tire du pied droit, un "tir du droit"; s'il tire à coté, un "tir
foireux". Un détail : si le tir s'écrase sur le poteau du but, on dit
"poteau", ou selon l'équipe que l'on supporte "merde" ou "ouf". Un
"poteau" est en général accompagné, par les commentateurs, d'un "s'il
avait été dedans, c'était pareil", thérorie qui reste encore à prouver.

La "TETE"

La "tête" est un action assimilable soit à une passe, soit à un tir,
effectué non seulement avec cette partie du corps, mais parfois
également de la main ou de l'épaule. Dans ces derniers cas, la
complicité de l'arbitre ou au moins son indifférence est nécessaire
(voir "main").
Pour flamber en société, on pourra citer Maradona, qui marqua de la
"tête" avec la "main de Dieu".

La "MAIN"

Quand un joueur touche le ballon avec la main, on appelle ca une "main".
Cela est strictement interdit (dans les limites stipulées dans le
paragraphe "tête"), et donc considéré comme une "faute" (voir "Faute").
Notons également que le gardien de but a, dans la limite de son
territoire (qu'il aura préalablement marqué en allant pisser aux 4
coins), lui, le droit de toucher le ballon avec la main, et le coude (et
le coude), et l'épaule (et l'epaule), et le cou (et le cou), et la tête
(alouette).

La "FAUTE"

Si un joueur décide abruptement de frapper l'arbitre au visage et de lui
faire avaler son sifflet en lui disant "Alors connard, ça te le coupe !"
(le sifflet, bien sûr), il y a "faute". Et l'arbitre est obligé de
siffler une fois qu'il a dégurgité son sifflet. Dans ce cas précis,
l'arbitre aura droit de sortir un "carton" ( voir "Carton").

Le "CARTON"

1) Bout de carton jaune ou rouge, appele "carton jaune" ou "carton
rouge" (selon les cas) que l'arbitre se doit de sortir dans certain cas
précis (voir "Faute"), et également à sa libre appréciation. Notons que,
si ce geste est accompagne des insultes suivantes : "connard", "gros
con" ou "aux chiottes", le carton sera de couleur jaune. En cas de
"salaud", "trou du cul", "enculé" ou "communiste", le carton sera de
couleur rouge.
2) Sans rapport avec la définition précédente, le "Carton" désigne
également un score disproportionné réalisé contre une équipe de
minables.

La "TOUCHE", le "CORNER", le "SIX METRES"

Afin d'assurer la totalité de la durée prévue d'un match, il est
généralement convenu que lorsque le ballon sort du terrain, il soit
remis en jeu. Ainsi, s'il sort sur les cotés du terrain, il y a "touche"
et on le renvoie avec la main (et hop, une autre exception à rajouter au
paragraphe "main"); alors que, s'il sort sur la ligne de fond, il y a
"Corner" ou "Six Mètres", selon qui l'a sorti, et on le renvoie avec le
pied (le ballon, pas celui qui l'a sorti.
"Pourquoi ?" vous demandez-vous, "parce que" répondrais-je...

Le HORS-JEU

Il s'agit d'une règle destinée à offrir à l'équipe défendante une raison
de s'en prendre aux arbitres quand ils sont assez nuls pour laisser un
attaquant adverse marquer en se retrouvant seul en 1 contre 1 face au
gardien. Par extension, elle sert également à unir et focaliser la haine
sur les arbitres, les spectateurs criant en coeur "putain y'avais
hors-jeu, achète toi des lunettes". Noter au passage la publicité
systématique envers les opticiens, ce qui pourrait expliquer les
investissements massifs d'Afflelou dans le foot français.

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:42

Chapitre I : Le gardien de but.

Gardien de but : Voilà une place enviée.
Pourtant au départ, il faisait pas le malin, le gardien de but. C'est toujours la brèle qui savait pas faire 2 pas sans se marcher sur le short qu'on a placé là par défaut (je suis bien placé pour le savoir, en général je m'essouffle 10 mn. à l'avant avant qu'on me propose gentillement d'aller voir dans les cages si j'y suis...). Mais, si le gardien persevère dans cette voie, quelle revanche sur le destin !
D'abord il a l'insigne honneur d'arbhorer fièrement un magnifique n°1 sur son maillot. Pas de discussion là dessus, il est prioritaire, personne ne peut le débouter de ce droit ancestral. Ca pose un homme, ça d'avoir le number one sur soi.
Et sur quoi il le met son beau numéro ?
Sur une tenue irisée qu'il a choisi lui-même, selon ses propre critères artistiques et vestimentaires. Il est pas obligé de se saper en mordoré caca d'oie du centenaire ou en gris souris du renouveau à l'extérieur. Que nenni ! Du coup, le gardien préfèrera le plus souvent ressembler à une perruche qui serait tombée dans un stock de peinture Lefranc.
D'autre part ses prérogatives dans le jeu sont multiples :
- Faire des moulinets avec ses 2 bras pour indiquer à ses coéquipiers qu'il va foutre une énorme patate sur son prochain dégagement.
- Surveiller que la paluche (mini caméra placée derrière le but) fonctionne bien et que le téléspectateur ne ratera pas le ralenti sur l'inévitable lucarne qu'il va encaisser si ses défenseurs continuent à jouer comme des pieds, bordel !
- Vérifier la solidité des montants du but en se pendant régulièrement à la transversale, où en tapotant légérement cette dernière de la main suite à un saut en extension. Ne pas oublier non plus les appréciables coups de crampons sur les poteaux.
- Placer son mur sur les coups francs de telle façon qu'il soit masqué au moment de la frappe et/ou vicieusement détourné par un de ses défenseurs ceci afin d'être totalement mis hors de cause en cas de but.
- Gueuler "Y'a hors jeu !!!" en levant le bras à chaque fois qu'un adversaire arrive à moins de 35 mètres.
- Etre le garant de la stabilité de la bouteille d'eau qu'on lui confie et qu'il a placé amoureusement sur le coté de son but. (la honte suprème étant de se la faire boire par un joueur adverse après une copieuse engueulade : ça s'est déjà vu !)
Même si parfois, son rôle peut paraître ingrat, le gardien de but à parfois l'occasion d'endosser la panoplie du héros, du sauveur et de connaitre la félicité ultime. La scéance de tir au but : ça c'est leur nirvana à eux.
Même s'il n'en arrète aucun, que tous les tireurs ont envoyés la baballe dans le haut des tribunes ou se sont gauffrés sur une peau de banane au moment de la frappe, rien n'y fait, l'honneur en reviendra TOUJOURS au gardien de but. Et s'il appartient au clan des vaincus, pas de problèmes, ce ne sera pas de sa faute mais de celui de son coéquipier qui a glissé sur la peau de banane au moment de tirer son penalty.
Bref, à ce petit jeu là, le gardien est toujours gagnant.
Le gardien de but se doit de réunir certaines caractéristiques : être plutôt grand, athlétique pour pouvoir soulever sans difficulté les nombreux trophés qui émailleront sa carrière et avoir des grosses couilles pour bloquer le ballon lorsque celui-ci est tiré entre les jambes. Sortir avec un top model ou une miss météo n'est pas indispensable pour réussir dans le métier mais c'est quand même toujours mieux que de se taper un immonde boudin.
De même, être chauve n'apporte absolument rien, mais des fois on fait pas ce qu'on veut, alors faites pas chier, merci...
Les autres noms du gardien de but : goal, dernier rempart, passoire, enculé.
Quelques gardiens célèbres : Bathez, Wimbée, Francis Cabrel (il est le gardien du sommeil de ses nuits), Planète Marsey.

Chapitre II : Le défenseur.

Défenseur : Voilà une autre place enviée.
Encore faut-il préciser de quel défenseur on parle, vu que leur nombre varie entre 2 et 10 suivant les équipes et le score en cours. On distingue généralement :
- Le libéro.
- L'arrière droit.
- Le stoppeur.
- L'arrière maladroit ou gauche.
- L'attaquant qui s'est luxé le genou mais qu'on ne peut pas sortir parce qu'on a déjà effectué tous les changements.
Il est à noter que l'on ne naît pas défenseur : on le devient.
En effet, la tendance naturelle du mâle est d'aller se faire remarquer aux avant-postes pour aller claquer des buts devant le parterre alangui de gonzesses spectatrices.
Le défenseur peut donc être considéré comme un attaquant raté qui s'emberlificote les pinceaux dès qu'il approche du but, et qui, du coup, éprouve un malin plaisir à aller casser du tibia d'avant centre dès que l'occasion se présente. Le bon défenseur se doit dès lors d'être ultra rancunier...
Le rôle d'un défenseur est simple :
- Tailler, hacher, latter, mettre en pièces, exploser, dynamiter, écrabouiller, cornofulguriser, flinguer, dépecer, exterminer, liquéfier, évicèrer, atomiser, maï-wachi-giriser le moindre attaquant adverse avant que ce dernier ne pénètre dans la surface de réparation.
- Lever les 2 bras en l'air comme si on était victime d'un vol à main armé sitôt le cuistre mis au sol (ou même mieux effectuer la lévitation des bras tout en achevant l'adversaire à coups de boules)
- Aller s'excuser et aider à relever les différents morceaux éparses de l'adversaire avant que l'arbitre ne mettre le sifflet à sa bouche (ou la main à sa poche pour les moins conciliants). Ne pas hésiter à y adjoindre ensuite une franche et cordiale poignée de main suivie d'une petite tape dans le dos toujours très appréciées dans les milieux sportifs.
- Courir vers l'avant très très vite et en coordination parfaite avec ses camarades afin d'abandonner son gardien seul avec l'attaque adverse. Au mieux, ce stratagème permet le mettre leurs avants hors jeu. Au pire, l'arbitre est un incapable, aveugle de surcroit. - Balancer le ballon très très fort en dehors de la zone dangereuse (dans les tribunes si son équipe est en train de gagner, où il peut sur le terrain si la situation est moins favorable).
- Se protéger les coucougnettes des 2 mains lorsque cet incapable de gardien lui demande d'aller rejoindre ses petits camarades dans le mur. De toute façon, au moment de la frappe, le défenseur ne pourra s'empêcher d'effectuer un brusque demi-tour tout en bombant brutalement le dos afin d'éviter de prendre le ballon en pleine poire, le défenseur n'est qu'un homme, que diable...
Les défenseurs sont les mal aimés du football. Rares sont ceux qui récoltent les lauriers (un ballon d'or ne peut a priori pas être attribué à un défenseur et leurs images panini n'ont aucune valeur marchande).
Mais le défenseur s'en fout tant qu'il touche la prime de match.
Les autres noms du défenseur : arrière, mur, gruyère, assassin, enculé.
Quelques défenseurs célèbres : Thuram, Cygan, Goldorak, Gilles Sereni, JCV.

Chapitre III : Le milieu de terrain.

Milieu de terrain, c'est bien aussi.
L'un des avantages d'être milieu de terrain, c'est qu'on peut se placer à peu près où l'on veut sur le terrain. Contrairement au sens premier du terme, le milieu de terrain n'est pas embrigadé dans le rond central, mais peut au grès de ses désirs aller faire un petit tour à l'arrière (il prend alors le nom de milieu défensif), à l'avant (on parle alors de milieu offensif) ou bien aussi rester comme un con sans bouger sur la ligne médiane (ont dit alors : milieu qui va bientôt voir le match du banc de touche s'il ne se sort pas les doigts du cul)
Bref : il avance, il recule, comment voulez-vous que je l'allume !
C'est qu'il doit en abattre du bouleau, le bougre :
- Ceinturer les attaquants adverses dès la ligne médiane afin d'éviter que par la suite les abrutis de défenseurs ne doivent les dégommer. Y sont capables de se prendre un carton rouge ou de concéder le penalty, ces primates.
- Récupérer le plus de ballons possibles dans les pieds adverses. (de toute façon il ne faut qu'il compte sur ses coéquipiers pour obtenir une passe digne de ce nom, alors autant aller chercher la balle là ou elle est...)
- Remonter tout le terrain balle au pied en dribblant une bonne demi- douzaine d'adversaires et en utilisant toutes les armes techniques à disposition (petits et grands ponts, roulettes, coups de coudes dans les gencives...) puis distribuer un caviar à l'attaquant le moins mal placé pour qu'il n'ait plus qu'à pousser le ballon dans les buts.
OU
- Se débarrasser du ballon en expédiant un missile vers la ligne d'attaque qui n'a qu'à se débrouiller pour convertir le machin en occasion de but. (il est à noter que, bizarrement, c'est cette deuxième technique qui est la plus universellement utilisée malgré les maigres résultats qu'elle engendre par rapport à la première...)
Dans les milieux de terrain, on retrouve souvent le chef de la bande, ou l'organisateur. C'est lui qui se charge de l'approvisionnement en bière et en sandwich, qui lance les parties de tarots dans le bus et qui donne le la quand il faut pousser la chansonnette. Il est plus tout jeune, y s'essouffle au bout de 10 mètres mais sans lui on se retrouve avec de la 33 export tiède, des cartes toutes graisseuses de couennes de jambon et on finie par entonner "J'ai bien mangé, j'ai bien bu, j'ai la peau du ventre bien tendue" comme hymne de guerre.
On peut aussi les désigner sous le nom de : Plaque tournante, récupérateur infatigable, charnière centrale, enculé.
Quelques milieux de légende : Zidane, Hitoto, François Bayrou, Didier Bolf.

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:42

Chapitre IV : L'attaquant.

On a beau dire, l'attaquant ca reste la star. Déjà au collège, c'est lui qui emballait toutes les gonzesses (sauf Guy Varche, mais lui c'est une autre histoire...).
Il ne fout pas grand chose, mais encore faut-il qu'il le fasse bien :
- Mettre ce putain de ballon au fond des filets. Du pied, de la tête, du genou, du mamellon droit, de la nuque, du pavillon interne de l'oreille, du furoncle sur la fesse gauche, de la glotte, de la glande tyrhoïdienne, ou même de la main de dieu : on s'en branle du moment que l'arbitre de touche se cure le nez au lieu de siffler hors-jeu et que l'arbitre de champs indique le rond central.
Sinon son rayonnement sur le jeu reste relativement restreint. Le reste du temps, il peut :
- Plonger pour laisser croire qu'il est capable d'intercepter de la tête les quelques rares centres distillés par les ailiers.
- Plonger pour tenter de couper la trajectoire du ballon qui file devant le but. S'il rate la balle, il a toujours une chance de voir arriver ses crampons préalablement badigeonnés d'un mélange de curare, d'arsenic et de poil à gratter sur le vilain nez du gardien adverse.
- Plonger dès qu'un défenseur approche à moins d'un mètre.
- Plonger dès qu'il entre dans la surface de réparation.
- Plonger le torse bombé et les bras en V pour les petites glissades d'après but.
- Plonger sur le dos, les jambes tétanisées par des tremblements épileptiques pour simuler des crampes en fin de match.
Bref, on le remarque aisement, l'attaquant passe plus de temps le nez dans le gazon que bien campé sur ses deux membres. C'est pour celà que la femme d'attaquant se doit de disposer à la maison du dernier cri en matière de lessive et de machine à laver, si elle veut pas passer pour la conne qui connait pas le gel pétillant en pastille avec une face bleu qui récure, une face blanche qui désodorise, une face verte qui désinfecte et une face lie de vin qui torche le cul du chat. Mais bon, là on s'égare...
Au même titre que le panda ou le col pelle à tarte, l'attaquant est une espèce en voie de disparition. Le fragile éco-système dans lequel il évoluait a été mis à mal durant les années 90. Les défenseurs bucherons, la rarefaction de leurs périmètres d'action, l'avidité de certaines multinationales du foot prêtes à proposer des fortures aux chasseurs de têtes pour avoir une parure d'attaquant sur leur banc de touche en sont les causes principales.
Triste, très triste... (c)
On peut aussi les désigner sous le nom de : avant-centre, goaléador, renard des surfaces, buteur, enculé.
Des attaquants qui sont resté dans l'histoire: Papin, Peyrelade, Dark Vador, Toon, Hervé F.

Chapitre V : L'entraîneur.

Une grande équipe c'est aussi un bon entraîneur.
C'est le ciment garant de la cohésion des joueurs, le berger du troupeau, les plots des briques légo, les poils de la bande Velpo ou encore le petit ruban rouge en plastique qui fait chier tout le monde quand il faut extirper une cassette vidéo d'un lot de 3 en promotion alors que le match est en train de commencer.
Sans lui, les joueurs baguenauderaient dans tous les sens sur le terrain sans but précis, iraient boire un coup à la buvette du stade au moindre arrêt de jeu et mangeraient des frites-mayonnaises au petit déjeuner : bref, une vrai basse-cour.
Heureusement, notre entraîneur veille au grain et s'occupe d'un foultitude de choses que personne d'autre n'aurait envie de faire de toute façon :
- Elaborer en fin stratège les choix tactiques adéquats en fonction de l'équipe à venir, de l'état du terrain, des conditions climatiques, de la forme de chacun, de la couleur des chaussettes de l'arbitre et de beaucoup d'autres paramètres plus ou moins ésotériques qui nous échappent, simples amateurs que nous sommes. Cela consiste en général à mettre sur la feuille de match les noms des joueurs qui ne sont ni à l'infirmerie, ni à l'hôpital, ni à un concert de rap, ni à l'étranger dans leur sélection nationale, ni à la buvette du stade parce qu'ils ont échappés à sa vigilance...
- Faire comprendre à ses ouailles et aux journalistes que l'adversaire du jour est de toute façon REDOUTABLE et que l'enjeu du match est invariablement CAPITAL. (C'est les moins de 15 ans de Wavrin sud dans le cadre de 1/2048 ème de finale de la coupe des Flandres ? ET ALORS !!! )
- Préparer et animer les séances de décrassage et d'entraînement. Ce n'est pas une mince affaire, le joueur de football étant au moins aussi fainéant que la plupart des lecteurs de ce forum. Aussi, lui faudra-t-il utiliser moultes subterfuges pour leur faire travailler ne serait ce que le muscle intérieur de l'auriculaire. Le principal étant bien sûr de vérifier que la buvette du stade est bien fermée durant les entraînements.
- Etouffer dans l'oeuf toutes ces petites animosités mesquines qui pourraient surgir à la longue dans un groupe de joueurs qui au départ ne sont pas de la même famille, ne sont pas forcement liés par des liens d'amitiés forts mais qui peuvent finir malgré tout par partager jusqu'à leurs épouses. L'entraîneur, qui a souvent lui même été joueur, sait généralement trouver les paroles justes pour aplanir les rancoeurs ("Bon, tu va pas nous chier une pendule pour ta salope. Aller, viens va, je t'offre une Kro à la buvette du stade, ca ira mieux après. Fais gaffe tu rayes le plafond avec tes cornes (rires gras)")
- Se dépenser sans compter durant le match : fumer, hurler, se prendre la tête entre 2 mains, gueuler après l'arbitre, foutre des coups de pied sur le banc, prier... Tout en restant digne devant la caméra (Pas question de se gratter les couilles comme tout bon spectateur qui se respecte).
Dans tout organisme digne de ce nom, il faut un fusible. Dans les clubs de football, ce fusible c'est l'entraîneur. Si l'équipe tourne mal, cherchez pas ailleurs, il est responsable de tous les maux et doit sauter. Au bout de 2 ou 3 "disjonctages", il doit alors se reconvertir dans d'autres métiers moins prestigieux : officier légionnaire, consultant sportif à TF1, gérant de buvette de stade...
On peut aussi dire : Coach, plouc en survet' et à bonnet, enculé.
Quelques entraineurs qui ont marqués les esprits : Goethals, Halilhodzic, Kronembourg (qui a d'ailleurs mieux réussi dans les métier de la buvette de stade qu'en tant qu'entraîneur), Guillaume Mallet...

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:43

La tenue vestimentaire du footballeur

Suites à différentes et récentes préoccupations sur le NG, détaillons un peu les différents éléments composant la tenue vestimentaire du footballeur.
CHAUSSURES A CRAMPONS
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Les crampons peuvent être vissés (comme une vis) ou moulés (comme une moule) selon l'état du terrain, voire remplacé par des lames de patins pour l'OM en déplacement à Lens.
Il convient de particulièrement faire attention au choix de la pointure. Si vous chaussez du 41 et que vous prenez une paire de 46, vous risquez de marcher sur le pied d'un arbitre et vous retrouver suspendu 2 mois.
Indispensables, les chaussures font l'objet d'un entretien particulier et sont brossés, cirés et lustrés après chaque match. D'ailleurs, homme soigneux, Di Fraya aiguise délicatement ses crampons de 24. Il ne faudra cependant pas confondre "crampons aiguisés" avec "talons aiguilles".
Contrairement aux apparences, le foot n'est pas un sport de gonzesses.
CHAUSSETTES
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Outre les pieds et les protèges tibias, les chaussettes servent souvent à héberger le moral, surtout les chaussettes brésiliennes le 12 juillet.
Les chaussettes des footballeurs montent jusqu'aux genoux et sont donc assez hautes, et paradoxalement, on les appelle également "les bas". Ne rajoutez pas résilles, ça ferait mauvais genre. Contrairement aux apparences, le foot n'est pas un sport de gonzesses.
PROTEGES TIBIAS
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Le protège tibia est pour le footballeur face au tacle ce que l'anti-virus est au PC face à happy99.exe, ou ce que le cancel est à frsf face aux vendeurs de billets au noir pendant la Coupe du Monde : Le protège tibia est le dernier rempart contre le briseur de jambe.
Quoique ce petit bout de plastique semble bien frêle en face d'un tacle glissé les 2 jambes décollées d'Antoine Di Fraya. C'est vraiment pas un sport pour les gonzesses.
SHORT
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Le short, comme son nom l'indique, est court.
Contrairement à ce qui a pu être évoqué ici ou là, le short n'est pas de plus en plus moulant pour "connaitre la religion des footballeurs".
Avant, il était plus long, mais pour économiser du tissu, il est de plus en plus petit, un peu comme les bikinis. Mais contrairement aux apparences, le foot n'est pas un sport de gonzesses.
SOUS-SHORT
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Etonnamment, le sous-short se met sous le short. Mais, soit par mauvaise conception, soit par mauvais goût, le sous-short est plus long que le short et dépasse donc. Il est néanmois beaucoup plus moulant.
Bien que la démonstration scientifique reste à faire, il semblerait que ce serait pour mieux chauffer et remettre en place les muscles. Il ne s'agit là que d'une extension de l'usage évident dudit sous-short (et pas besoin de démonstration) à savoir se tenir les burnes au chaud. Le sous-short à été mis à la mode par les tennismen et les tenniswomen. Mais contrairement aux apparences, le foot n'est pas un sport pour Mary Pierce, mais pour Amélie Mauresmo, j'ai un doute.
SLIP
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Quand il ne met pas de sous-short, le footballeur porte en général un slip, enfin c'est conseillé vu la solidité des shorts.
Parfois, parce qu'en minime première année, le footballeur a gagné une coupe, il remet le même slip à chaque match. C'est con et ça serre, mais le footballeur est supersticieux.
A noter que le caleçon est aussi toléré. Par contre, le string léopard est plus rare, quoique ça attirerait beaucoup plus de gonzesses dans le foot. Y'a qu'à voir Jackie s'extasier devant un bout de fesse de Barthez.
MAILLOT
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Le maillot est tellement important pour le footballeur qu'il écrit son nom dessus pour être sur de le retrouver. Avant, le nom n'était pas écrit sur le maillot, mais dès qu'il a su lire, le
joueur s'est écrié "je ne suis pas un numéro, je suis un footballeur". Mais écrire le nom, n'a pas résolu tous les problèmes, en particulier pour Didier Six.
Le maillot est fabriqué dans des matières extensibles. En effet, pendant le match, les joueurs essaient de se prendre le maillot en tirant dessus. A croire qu'ils sont ignorants ou impatients. En effet, à la fin d'un match, la tradition veut que les joueurs échangent leur maillot. Il le fait de bon coeur, car il sait qu'il pourra le retrouver grâce à son nom écrit dessus.
C'est au moment des échanges de maillot que l'on regrette que le foot n'est pas un sport de gonzesses.
T-SHIRT
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Sous le maillot, le footballeur porte un T-shirt ou parfois un marcel.
Longtemps simple sous-vêtement, le T-shirt est devenu un moyen de communication. On ne compte plus les joueurs qui profitent d'un but pour montrer une photo de son bébé, de son chien ou de sa femme, ou encore la marque d'un sponsor, ou bien un message personnel.
Attirons l'attention sur le grand drame des joueurs qui ne marquent pas, qui ne peuvent donc pas le montrer et qui le remettent le match suivant par qu'ils espèrent en planter enfin un. Pensez par exemple à Ouedec qui doit encore en avoir un qui date du FC Nantes et qu'on a toujours pas vu...
SERRE-TETE
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Certains joueurs ajoutent à la panoplie standard divers accessoires. Laissons de coté les anecdotiques écarteurs de narines pour nous intéresser au serre-tête.
Une observation attentive nous permet de déduire que seuls les joueurs avec des cheveux longs optent pour le serre-tête. Barthez ou Leboeuf aurait l'air fin sinon.
Parmi les adeptes, nous pouvons citer Meyrieu, et surtout Dugarry qui a su en faire une arme redoutable. Quelqu'un parlait de cornofulgur, mais on pourra aussi évoquer le diadème boomerang de Wonderwoman.
Le footballeur aime prendre soin de ses cheveux car c'est son fond de commerce. Ginola, qui a opté pour l'élastique plutôt que le serre-tête, fait d'ailleurs une pub pour un shampoing pour payer son transfert "Le Real, parce que je le vaux bien".
En fait, le footballeur est coquet. A se demander si le football n'est pas un sport de gonzesses après tout...

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Un peu d'humour... - Page 3 Bbfte5uq8

Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:52

Qu'est ce qu'un supporter ?

Un supporter ne se définit pas. On naît supporter, on ne le devient pas.
En règle général le supporter supporte les couleurs de la ville qui l'a vu naître et parfois s'il a déménagé, celles de la ville qui l'héberge.
Exemples :
Exemple n°1 : Un corse ne soutiendra jamais l'AS Nancy Lorraine. Sauf
s'il a été enlevé bébé, et été élevé en Lorraine ... et encore !
Exemple n°2 : On ne verra jamais un marseillais supporter PSG
Contre exemple : Sous la menace d'une arme, certains supporters peuvent temporairement renier leurs couleurs. Ce ne sera jamais que temporaire.
L'avant match
L'avant match est fait de certitudes. Le supporter est certain que ce connard d'entraîneur aura tiré les conséquences des derniers déplacements merdeux de son équipe et transformera donc ce putain de
5-3-2 en un 4-3-3 plus audacieux. Il est certain que cette grosse merde
de XXX (remplacer selon les clubs) sera enfin sur le banc.
En général, les prédictions d'avant match ne se réalisent pas, ce qui
permet au supporter d'avoir de quoi dire en cas de défaite ("Putain, je
l'avais dit, il fallait pas faire jouer XXX ..."). L'avant match est aussi une longue montée en pression, comprenant la préparation de banderoles de préférence poétiques ("PSG ENCULES" par exemple), l'absorption de diverses boissons éventuellement alcoolisées, et l'acquisition du nouveau bonnet ridicule aux couleurs du club à la boutique de ce même club, pour faire monter les recettes merchandising.

Pendant le match
Au même titre que tous les animaux de la création, le supporter a un
cri, le "ho hisse enculé". Ce cri ponctue les renvois aux six mètres du
gardien de l'équipe adverse. Il semblerait que ce soit une façon de marquer son territoire, ce qui prouve que le supporter est bien plus
évolué que l'ensemble des autres créatures sur Terre, puisqu'il n'a pas
besoin de pisser pour ce faire.
Un poncif vieux comme le monde veut que le supporter soit abreuvé de
bière. Ce n'est pas forcément vrai. Il peut aussi être abreuvé de pastis. On remarque en général que son hygiène de vie est inversement proportionnelle à sa passion. Il est scientifiquement prouvé que le taux
d'alcool dans le sang est inversement proportionnel à la qualité du jeu
produit lors du match.
A noter la déplorable loi buvette qui oblige le supporter a reporté cette activité essentielle pour moitié avant et pour autre moitié après le match.
On reproche souvent au supporter d'être de mauvaise foi. Ce reproche est
sans fondement, puisque la mauvaise foi fait partie intégrante de la
panoplie du supporter. J'irai même plus loin, un supporter qui serait de
bonne foi, ne mériterait pas d'être supporter. Il est vrai que de ce point de vue, les strasbourgeois n'ont pas de supporters.
Les réflexes du supporter se doivent d'être nombreux.Notons au passage:
- Dès qu'un de ses joueurs entre dans la surface et qu'il glisse, le
supporter hurle "PENALTY". Il n'y croit pas lui même, mais 30.000 autres
couillons ayant vu penalty ne peuvent pas se tromper.
- Dès qu'un joueur de l'équipe adverse rentre dans sa surface et se prend un tacle les deux pieds décollés dans le genoux gauche, le supporter hurle "BOUH, CHIQUE ENCULE".(exemple : "Marsiglia chiqué" -Metz )
- Dès que l'arbitre siffle contre son équipe, le supporter hurle : "Arbitre enculé"
- Dès que l'arbitre siffle pour son équipe le supporter hurle aussi :
"Arbitre enculé"
En fait, dans le second cas, il exprime ainsi son désappointement à l'homme en noir pour n'avoir pas sorti l'avertissement qui selon lui
s'imposait.
- Dès que le match est fini, sortir du stade en écoutant les résultats des autres matchs, en ponctuant invariablement chaque score d'un "ahhhhh", ou d'un "ohhhhhh"
- "XXX XXX on t'encule", XXX étant le plus généralement et par ordre de
fréquence :
1) Paris
2) Marseille
3) L'arbitre
4) Nancy (uniquement en cas de match contre Nancy)
5) N'importe quel joueur de l'équipe adverse auteur :
5.1) d'un but
5.2) d'un geste technique déplacé (petit ou grand pont - exemple :
Aloisio enculé)
5.3) d'une faute non sanctionnée réelle ou non (exemple : Schumacher
enculé)
5.4) d'une faute sanctionnée
6) Un joueur acheté de sa propre équipe (je ne donne pas d'exemple,
car j'ai de la famille à charge). - "xxx démission", XXX étant par ordre de fréquence
6.1) L'entraîneur
6.2) Le président
6.3) Courbis
6.4) Le manager général
6.5) Nancy (uniquement en cas de match contre Nancy)
Les spécificités locales :
- Le brûlage de PQ : l'hivers est rude à GG, les travées ne sont pas
chauffées, il est donc habituel de brûler quelques rouleaux de PQ histoire de se réchauffer.
- L'envahissement de terrain : spécialité répandue au sud de la Loire,
l'envahissement de terrain est un coutume malheureusement en voie de
disparition. Heureusement qu'il reste tous les deux trois ans les marseillais et les cannois pour remettre ce joyeux folklore au goût du
jour
- Le suicide individuel : pratiqué par quelques parisiens qui attaquent
-seuls- le service d'ordre du club chez qui ils se déplacent. Paris est bien magique.
- Les jolis feux de Bengale : nulle part ailleurs qu'à Marseille, ils ne sont aussi réussis. Il y a à Marseille une sensualité particulière...
- Le silence : Spécialité de la cathédrale de San Mames (si quelqu'un
pouvait confirmer l'orthographe). Strasbourg s'y est essayé non sans
quelques succès. Plus récemment les lensois ont réussi à tenir dix
minutes ...
- Le taggage de siège du club : spécialité récente importée semble t-il
d'Argentine par un club au palmarès ... disons réduit.
- Le "Aufwidersehen" : Chant qui ponctue la sortie de tout adversaire (de préférence sur blessure) à la Meinau. A noter dans le même registre
incompréhensibles aux français dits de l'intérieur :"Jetz geht's los", qui veut dire en gros :"Bon maintenant, on y va, bande de fainéants, vous allez vous bouger le cul oui ou merde ?")
- "Marseillais" : supporter de Marseille. Exemplaire unique actuellement espèce protégée sur frsf. Il est interdit de chasser "Marseillais". Il n'y en a qu'un seul. Il est à frsf ce qu'est l'idiot à son village : indispensable.

L'après match
- Dans les commentaires, l'analyse s'affinera au fur et à mesure que la
soirée passera. Dans un premier temps, le supporter se contentera de
refaire le match (si ce connard avait marqué au lieu de confondre la tête du gardien avec le ballon, alors, ...). A la suite de cet exercice, le supporter arrive immanquablement au jugement objectif de chacun des onze joueurs du club qu'il supporte (Nouma est une grosse merde, Porato ne sait pas sortir, Ravanelli ne court pas, Christian est une burne...). Le jugement est fondamentalement plus sévère que dans l'enceinte du stade. Il donne lieu généralement à un débat animé (exemple : "non, Nouma n'est pas une grosse merde"). Petit à petit un consensus se dessine sur la qualité globale de l'équipe. Il s'ensuit immanquablement une remise en cause générale de la politique de recrutement du club depuis (un - cinq - vingt ans (biffer les mentions inutiles)).
- Avoir supporté son équipe est fatigant et donne soif. Il est prouvé que l'ensemble des bars situés à moins de 500 mètres d'un stade de D1, font les 3/4 de leur chiffre d'affaire les soirs de match. La soif est l'ennemi du supporter. Les litres de bière aidant, l'analyse devient au fil de la soirée de plus en plus pertinente (exemples : "Zidane est très surfait", "Gohel n'a jamais eu sa chance")
- Selon qu'il a gagné ou perdu, le supporter rentre à 4 heures du matin, aphone et ivre en chantant "on a hanié", ou à 23 heures en disant "ils ont perdu, alors pas ce soir, j'ai migraine".
- S'il est connecté, le supporter se précipite sur frsf pour au choix :
1- insulter les supporters de l'adversaire du soir qui a honteusement
battu son équipe
2- insulter les parisiens
3- insulter les marseillais
4- insulter n'importe qui.
5- se foutre de la gueule de l'adversaire que son équipe a laminé (que
le score soit de 1-0 ou de 8-0, c'est toujours laminé).
6- se foutre de la gueule des marseillais s'ils se sont fait laminés
7- se foutre de la gueule des parisiens s'ils se sont fait laminés
8- se foutre de la gueule de n'importe qui d'autre
9- faire un résumé concis de la partie de manière objective ... mais nous l'avons déjà dit, l'objectivité ne fait pas partie de l'arsenal du supporter.

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Sujet: Re: Un peu d'humour... Ven 23 Sep 2005 - 23:56

Ben Cassandre tu es déchaînée ce soir... Un peu d'humour... - Page 3 07

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 0:01

je suis en forme en effet...
c'est tellement bien le foot !! lol2

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Un peu d'humour... - Page 3 Bbfte5uq8

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 0:36

he beh, ça en fait des choses à lire, me suis arrété avant la description des joueurs, y'en a trop, mais je continuerai plus tard car tout est enregistré... lol2

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Un peu d'humour... - Page 3 Signature0zp

MAIS POURQUOI QUE LE BAR EST VIDE, JE VIENS A PEINE D'ARRIVER...

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 18:36

salut

excellent excellent Cassandre!

et tellement vrai! hello

cordialement

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 18:51

eeet ba la vache dis donc !!! t'en à écris des choses !... excellent

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 19:42

c est qu on va avoir soif apres avoir lu tout ca...
pour moi.un sprite

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Recrute des pilotes pour effectuer des missions d'interception de quadrimoteurs américains...
Un peu d'humour... - Page 3 836025yv

Sujet: Re: Un peu d'humour... Sam 24 Sep 2005 - 20:39

Bien vu ! excellent
Mais yena long, j'en ai mal à la tête...
je prendrais bien un p'tit remontant !

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