D'ailleurs, P. Facon est largement cité dans l'article du blog... Mais tu fais bien d'ajouter le texte de Philippe Garraud, qui est très pertinent sur la question.
Je peux ajouter, de mon côté, qu'au vu des rapports de police que j'ai parcourus, les ouvriers de l'industrie aéronautique, enfin du moins ceux qui avaient choisi ce secteur et y travaillaient déjà avant la guerre, notamment les compagnons, étaient jugés comme des éléments fiables car aimant leur métier : l'idée de saboter non pas des armes mais leur travail leur répugnait.